| « L’assurance-emploi doit être prolongé 
					de 15 à 50 semaines pour ceux et celles qui sont malades » 
					- Louis Plamondon Sorel-Tracy, le 10 décembre 
					2019 – Yves-François Blanchet, chef du Bloc Québécois et 
					député de Beloeil-Chambly était accompagné sur la colline 
					parlementaire de Louis Plamondon et de plusieurs autres 
					députés du Bloc Québécois, de même que de mesdames Émilie 
					Sansfaçon et Marie-Hélène Dubé et de leurs proches pour 
					demander au gouvernement d’agir pour modifier le programme 
					d’assurance-emploi afin que les gens aux prises avec une 
					longue maladie puissent bénéficier de l’aide dont ils ont 
					besoin tout au long de leur lutte. « Madame Sansfaçon croyait avoir 
					vaincu le cancer, mais lorsqu’on lui a annoncé une récidive, 
					elle avait épuisé toutes ses semaines d’assurance-emploi. 
					Elle se retrouve sans soutien du gouvernement fédéral et a 
					dû s’endetter pour faire face à la maladie. C’est quand les 
					gens font face à l’adversité qu’ils ont besoin de notre 
					aide, pas quand ça va bien. On connaît le problème, on 
					connaît la solution.  Ça n’a aucun sens que ça continue 
					à traîner, corrigeons la situation maintenant », 
					a déclaré M. Blanchet. Le Bloc Québécois fait sienne les demandes de ce groupe 
					de citoyens afin que le  gouvernement fédéral augmente 
					la durée des prestations spéciales d’assurance-maladie de 15 
					à 50 semaines, pour permettre aux malades de se battre dans 
					la dignité. Depuis 1971, le programme n’a jamais été bonifié 
					malgré les demandes de nombreux intervenants ; sept projets 
					de loi ont été déjà déposés pour régler ce problème mais 
					rien n’a jamais abouti. « Émilie Sansfaçon et 
					Marie-Hélène Dubé ont choisi de se battre. Pour leur vie,  
					pour leurs familles et pour toutes celles et tous ceux aux 
					prises avec la maladie. Mais il n’y a aucune raison qu’elles 
					doivent, en plus, se battre contre la machine. Il serait 
					temps de leur donner un peu de répit et de régler cette 
					question une fois pour toutes », a conclu le 
					député de Bécancour—Nicolet—Saurel, Louis Plamondon. 
					Bureau du député Louis Plamondon
 |