Plan de relance :
« Le Québec choisit. Le Bloc agit. »
- Louis PlamondonSorel-Tracy, le 28 septembre
2020 – Après un vaste exercice de consultation à travers les
régions du Québec, le Bloc Québécois présente son plan de
relance fondé sur le transfert au Québec des moyens
financiers requis pour lutter contre la COVID-19 dans ses
champs de compétence, parallèlement à une ambitieuse relance
verte axée sur les régions.
« La relance passe par
l’investissement dans la transformation au Québec des
richesses naturelles du Québec : forêt, aluminium, mines…
Elle passe par la recherche et l’innovation dans nos
institutions et le recours à notre énergie propre,
renouvelable à l’infini, par le tissu unique des PME
québécoises. Biomasse, éolien, solaire, hydroélectricité et
géothermie peuvent alimenter de façon durable le progrès au
Québec et en faire un modèle. Notre richesse à nous est là,
celle du Canada est ailleurs », explique
Yves‑François Blanchet, chef du Bloc Québécois.
« Les régions du Québec ont choisi.
Le Bloc Québécois veut agir. »
« Agir pour la recherche; pour
nos aînés vulnérables sur le plan de la santé, du pouvoir
d’achat et de l’isolement; pour accélérer les projets
d’infrastructure, de transport collectif ou de logement
social selon la volonté des municipalités, des régions et de
l’Assemblée nationale du Québec; pour notre tissu industriel
en protégeant et en encourageant la propriété locale de nos
PME. Je vous invite à comparer ce plan étoffé à
l’imprécision parfois nuisible du discours du Trône »,
suggère Louis Plamondon, député de Bécancour—Nicolet—Saurel.
Pour atteindre ses objectifs, ce plan de relance offre de
nombreuses propositions concrètes qui touchent par exemple
les transferts en santé, la contribution fiscale des
multinationales d’Internet, le transfert des sommes
fédérales pour le déploiement d’Internet sur l’ensemble du
territoire québécois, l’aide aux aînés et la hausse de 110$
par mois de la prestation de la sécurité de vieillesse, la
mise en oeuvre de la Déclaration des Nations Unies sur les
droits des peuples autochtones, la création de fonds
régionaux et sectoriels ou l’amnistie de 8 mois pour les
prestataires non-frauduleux de la PCU.
« Le Bloc Québécois croyait
compléter cette conversation avec les régions du Québec doté
d’un plan ferme afin d’émerger de la pandémie avec un
itinéraire clair. Aujourd’hui, nous déposons ce plan, mais
constatons aussi que les conditions futures demeurent
incertaines et l’environnement politique imprévisible.
La consultation aura donc une suite et ce plan évoluera
selon les contraintes de santé publique et les idées qui
sauront éclore face à l’adversité. Le Québec s’est exprimé
par ses acteurs de toutes les régions. Il a choisi. À nous
d’agir », conclut Louis Plamondon.
Bureau du député Louis Plamondon |