| 
        
          
            | 
              
                
                  | Partenariat transpacifique « Pas d’entente sur le dos des 
					agriculteurs québécois » - Louis 
					Plamondon
 
 Alors que les négociations sur le 
					Partenariat transpacifique arrivent à leur terme et que le 
					gouvernement américain a enclenché une procédure de « fast-track 
					», le Bloc Québécois demande aux partis du Bloc canadien de 
					clarifier leur position sur l’avenir du système de gestion 
					de l’offre.
 
 « Nous savons que les partenaires 
					exigent du Canada qu’il fasse des concessions sur le système 
					de gestion de l’offre, un pilier de l’agriculture 
					québécoise. Il y a de quoi s’inquiéter, sachant que le 
					gouvernement Harper a sacrifié les producteurs de fromages 
					fins du Québec sans les compenser adéquatement dans le cadre 
					des négociations Canada-Europe. Or, le gouvernement 
					conservateur demeure trop flou en ce qui a trait à la 
					gestion de l’offre. Il doit dès maintenant s’engager à 
					n’affaiblir d’aucune manière le système de gestion de 
					l’offre.  Ottawa ne doit pas signer une autre entente 
					de libre-échange sur le dos des agriculteurs du Québec, 
					d’autant plus que nos producteurs de fromage attendent 
					toujours une compensation juste et équitable à la suite de 
					l’accord avec l’Union européenne », a déclaré 
					Louis Plamondon, le député de Bas-Richelieu-Nicolet-Bécancour.
 
 Pour ce qui est des autres partis canadiens, le député du 
					Bloc Québécois les a sommés de sortir de leur mollesse 
					habituelle. « Nous demandons à 
					Justin Trudeau et à Thomas Mulcair de dire dès maintenant 
					qu’ils prennent l’engagement solennel de défendre et 
					d’assurer le maintien du système de gestion de l’offre. 
					C’est l’avenir d’un grand pan de notre agriculture qui est 
					en jeu. Que les partis du Bloc canadien soient clairs : 
					vont-ils oui ou non protéger l’agriculture québécoise ? La 
					question est simple. Les agriculteurs québécois veulent une 
					réponse maintenant », a conclu Louis Plamondon.
 
 Source : Bureau du député
 |  
												|   |  |  |    |